Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (19)

Nous venons d’arriver chez Martine qu’Anne me présente.
C’est une femme magnifique perchée sur ses talons haute et qui comme ma petite porte une magnifique guêpière rouge dégage sa chatte.
Nous remontons la salle où une femme se fait besogner par trois hommes.
Anne a enlevé le lien qui nous unit, la mise à mon mousqueton et le donner à Martine m’offrant à elle.
Elle m’aide à enlever ma seconde peau comme le fait un serpent lors de sa mue. Martine m’entraîne dans une alcôve sur la couche moelleuse. Nos bouches se cherchent, se trouvent.
Nos cuisses s’entremêlent, nous plaquons nos chattes l’une contre l’autre et nous nous frottons les clitoris pour leur donner leurs plaisirs.
Je sens que Martine a une grande expérience avec les femmes. Elle me fait jouir très rapidement.
Je la renverse et lui mange la chatte, nous nous retournons et nous nous léchons mutuellement.
Comme moi, Martine jouit !
Je m’attaque à ses seins que je gobe l’un après l’autre.
Elle apprécie. Anne gobe ma chatte. Je gobe Martine qui gobe Anne, nous formons un cercle de plaisir humain. Un cercle qui se met à râler sans savoir par qui les sons sont émis.
Je récupère ma peau et demande aux filles de m’aider à la ré-enfiler.
Je préviens notre hôtesse que nous allons la laisser.
Martine est ennuyée pour ses clients mâles que deux belles grâces comme nous la quittions.

• Ma belle, demain c’est mon anniversaire et je vais avoir une grosse journée.
C’est pour faire plaisir à Anne que nous sommes venues.

Nous avons une grosse journée pour mon anniversaire.
Je lui promets qu’après les vacances, nous viendrons avec Odile et Alain.
Elle nous conduit au bar où j’appelle le taxi. En attendant, nous acceptons un verre rafraîchissant, nous sommes nous-mêmes et non en service nous acceptons un verre de champagne.

Nous quittons l’établissement et retrouvons notre chauffeur qui nous ramène prestement vers notre lit.


Très fatigué, nous nous douchons et rapidement, enlacée nous nous endormons.
Vers dix heures je me réveille et prépare le petit déjeuner.
Anne arrive dans la cuisine un paquet à la main.

• Bon anniversaire maîtresse.

Elle se blottit sur ma poitrine. Que j’aime ses pointes de seins sur mon corps ! Je l’embrasse et la remercie de son attention.
J’ouvre le paquet cadeau.
Elle m’a acheté une jolie broche agrémentée de petits rubis rouges identique aux pierres de mon collier.

Une envie de l’amener dans la chambre pour faire vibrer son corps est irraisonnable. Je pense à l’invitation que j’ai reçue par le coursier de l’organisation et à midi nous devons être à, Chennevières.

Nous nous préparons, bichonnons, pomponnons, coiffons, maquillons et pour finir nous nous habillons.
J’accroche, la broche à mon révère ce qui plait à Anne qui vient m’embrasser.
Nous retrouvons ma voiture en faisant bien attention de ne pas nous arrêter devant la porte du sex-shop, cela risquerait de nous mettre en retard.
Dans la voiture, je pose une question à Anne.

• As-tu t’on permis de conduire ?
• Non, mais j’aimerais apprendre.
• Je vais te confier à un ami de Virginie. Il a une auto-école près de l’institut.
Il m'a fait passer le mien.
Tu verras, il est très gentil et ce qui ne gâche rien belle homme.
• Il t’a baisé.

Je lui raconte les leçons ou en sortant de ma mini je lui ai permis de voir ma chatte.
Ses hésitations à me draguer.
Et pour finir la réussite au permis avec la gratification que je lui ai donné lorsque j’ai accepté qu’il me prenne debout un pied sur la table où j’avais appris le code.
Le temps de raconter mon histoire, nous sommes arrivées au pavillon.
Pas âme qui vit. Aucun mouvement dans le jardin. Nous entrons, rien ne bouge dans la maison.
Anne m’entraîne dans ma chambre, nous nous mettons nue.
Elle sort de son sac, ma laisse rouge qu’elle a emportée discrètement.
Elle met le mousqueton à mon anneau.

• Veux-tu être mon esclave ?
• Bien sûr, mon cœur, je suis à toi.

Elle sort un foulard qu’elle me noue autour des yeux me bloquant entièrement la vue.

• Met toi à quatre pattes et suivies moi comme une bonne petite chienne.

Ce jeu nouveau m’intrigue, mais une esclave a interdiction de se rebeller. Je me mets dans la position demandée, elle tire légèrement sur ma laisse pour m’inciter à la suivre.
Nous nous déplaçons dans la chambre, nous tournons à droite à gauche a tel point qu’au bout de quelques temps il m’est impossible de savoir ou je suis.
Anne tire une nouvelle fois sur la laisse.
Je sens de l’herbe sous mes genoux, nous devons être dans le jardin.

• Stop, Avance tes mains, tu vas sentire un plateau, monte dessus en restant à quatre pattes.

Je m’exécute.

• Acceptes-tu que je te lèche la chatte ?
• Tu ferais mon honneur ma maîtresse.

Je sens que l’on m’écarte les fesses, une petite langue pointue pénètre ma vulve. J’essaye de faire fonctionner mes petits muscles pour retenir cette langue. J’y arrive maladroitement. Je commence à bien mouiller. La langue se retire.

• As-tu envies de te faire enfiler ?
• Qui va me prendre, Alain comme les autres fois ?

Qui Anne a-t-elle trouvé pour m’emmancher ?

• Je pense, tu verras bien, une esclave répond par oui ou par non, jamais par une question sinon je vais chercher une cravache.

Je sens un sexe venir sur les bords de ma chatte qui s’enflamme.
La verge s’enfourne au fond de ma grotte. Je subis ses ardeurs pendant de longues minutes, elle sort même de mon vagin pour entrer dans mon petit trou. Je jouis, je jouis à en être épuisée.
Anne demande à la bite de se faire prendre en bouche.
Dans ma bouche !
La mâle présente son gland sur mes lèvres, je les ouvre et je l’absorbe.


• Suce-lui bien la queue.
Lèche là sur toute sa longueur.
Maintenant, tu prends ses boules dans ta bouche comme tu aimes le faire avec tous les hommes qui t’ont baisé.
Je penche la tête et j’arrive à mettre ses boules dans ma bouche sans l’aide de mes mains.
Ses boules, non sa boule dans ma bouche.
Je me redresse d’un seul coup arrache le bandeau.

• Tof !

Il est devant moi en chair et en os.
Tof, viens de me baiser et même de m’enculer.
Ma vue est trouble après le temps où j’ai eu le bandeau.
J’entends plein de gens crier.
« Bon anniversaire Christine »
Le plateau commence à tourner, je peux apercevoir ceux qui viennent de me fêter mes vingt six ans.
Ils sont nus comme l’indiquait le bristol reçu.
Thème « naturisme. »
Les premiers que je reconnaisse Odile et Alain.
Me voir me faire prendre par « Tof » a du leur faire de l’effet, il a trois doigts de sa main dans sa chatte et sa verge bande.
Le plateau tour et mon regard croise le sourire espiègle de Virginie tendrement allongé sur un transat, Aline assise à la hauteur de sa chatte et sa main à proximité de celle de la petite.
On tourne à coté du transat, Stéphane est là queue en l’air. Je l’aime vraiment bien, mais je dois constater qu’une fois de plus il ressemble à un grand benêt.
Le plateau continue à tourner et Véronique est là avec sa crinière rouge plus belle que jamais.
A ses côté un homme que je ne connais pas.
En le regardant bien un air de déjà vu revient à mon esprit.
C’est « Sébastian Parrio » acteur de film porno comme Tof, il jouait avec lui dans la casette que j’ai acheté.
Il semble qu’il soit très intéressé par ma grande rousse qu’il semble couver du regard.
La personne suivante est celle avec qui, nous avons passé un moment agréable hier soir avec Anne dans son établissement libertin, Martine.
Elle est appuyée sur l’épaule d’un homme qui ne m’est pas inconnu.

Eh oui, « Phil Haliday » lui aussi joue avec Tof dans le même DVD.
Frédérique et Frédéric sont là eux aussi, quel plaisir.
Et enfin dans la piscine Antoinette et Serge sont assis sur les marches tendrement enlacées.
Serge à ses doigts dans la fente de sa femme et comme tout les hommes présent il bande.
Quelle joie de commencer ma longue journée d’anniversaire entouré de tous mes amis et amies alors que l’an passé, j’ai fêté mes vingt-cinq ans seuls dans un restaurant au bas de mon appartement mon ex étant officiellement à l’étranger.
Maintenant que je réfléchi bien nous devions partir trois jours ensemble et au dernier moment il a prétexté un remplacement impossible à refuser d’après ce qu’il m’a dit pour partir.
Il faudra que je demande à ma belle rousse si par hasard, elle était le remplacement non pas d’un copain pilote mais le remplacement de sa femme.
Qu’elle gourde j’ai été ce jour là lorsqu’au dessert un magnifique homme black avec une allure de déménageur à eu l’outrecuidance de s’asseoir à ma table deux café en main et qui d’entré ma proposé la botte.
Je l’ai éconduit gentiment mais fermement lui montrant mon alliance et que je lui étais fidèle.
Pourquoi mon éducation bourgeoise qui primait sur mes envies m’ont fait l’éconduire alors que lorsque je regardais ses muscles surpuissant j’ai hésité à lui dire de monter chez moi me faire déchirer comme j’aime que l’on me déchire maintenant.
Chez moi ou dans l’hôtel voisin où il m’a proposé d’aller si j’avais peur de voir mon mari revenir et me surprendre avec sa belle queue qui devait être à la pointure de sa taille dans ma chatte.
C’est presque en courant qu’après avoir payé moi-même mon café que j’ai oublié de boire que je me suis réfugié chez moi et jusque dans mon lit recroquevillé à pleurer à chaudes larmes officiellement sur l’absence de Pierre mais certainement quand je réfléchis bien sûr mon manque d’audace devant la vie me paraissant si terne.

Revenant sur mon plateau, je me retrouve devant la queue toujours bandé de Tof, mon Tof, je la gobe et j’ai le plaisir de boire et d’avaler son foutre pour la première fois.
J’ai bien sur oublié Anne qui a tourné en même temps que moi sur le plateau, mais que je n’oublie pas.

• Lève-toi ?

Elle m’enlève la laisse et plonge dans l’eau.
Nous plongeons toutes les deux dans la piscine bientôt suivie par tous les invités, je devrais dire mes invités.
Que je suis heureuse, avoir fait venir Tof pour mon anniversaire qui plus ait me faire offrir sur un plateau au sexe qui m’a fait si souvent fantasmer, je sens que la journée va être chaudes pour nos parties intimes mais qu’elle beau cadeau d’anniversaire…






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